En 2011 les premiers articles se contentent de mettre en exergue le prix inférieur du Gripen pour le discréditer.
Le 25 nov. 2011, le Temps titre "Le Gripen à un prix de superdiscounter".
Le 30 nov. 2011, le Temps titre "Le Conseil fédéral choisit le Gripen, chasseur à prix cassé".
Le 01 déc. 2011, le Temps titre "L'argument financier a tranché pour le Gripen".
Le 04 déc. 2011, le Temps titre "Rafale de critiques sur le Gripen".
Dès 2012, après la révélation de rapports préalables secrets concernant le Gripen C/D, les articles critiquent la décision.
Le 24 janv. 2012, le Temps titre "Accusations anonymes sur le choix du Gripen".
Le 25 janv. 2012, le Temps titre "Examen approfondi du choix du Gripen".
Le 03 févr. 2012, le Temps titre "Un nouvel obstacle pour l'achat des Gripen".
Le 18 févr. 2012, le Temps titre "Les dépités du Gripen".
Le 23 févr. 2012, le Temps titre "Ce Gripen qui fâche".
Le 11 Avr. 2012, le Temps titre "Horizon incertain pour les 22 Gripen".
Le 26 avr. 2012, le Temps titre "Un référendum attend déjà le Gripen".
Dès la mi-mai, la firme suédoise entreprend de ce défendre et les attaques se concentre alors sur l'UDC et sur Ueli Maurer.
Le 18 mai 2012, le Temps titre "Saab passe à la contre-offensive pour défendre son Gripen".
Le 03 juin 2012, le Temps titre "Gripen : Maurer continue sur sa lancée".
Le 04 juin 2012, le Temps titre "Du vélo au Gripen, le saut vertigineux d'Ueli Maurer".
Le 30 juin 2012, le Temps titre "Opération de charme des Suédois pour vendre le Gripen ".
Le 16 août 2012, le Temps titre "En Suède, les coûts du Gripen allument la controverse".
Le 21 août 2012, le Temps titre "Doutes en Suède sur le développement du Super JAS".
Le 22 août 2012, le Temps titre "Le Gripen, cet avion qui multiplie les risques".
Le 22 août 2012, le Temps titre "Comment Berne a avantagé le Gripen".
Le 25 août 2012, le Temps titre "Gripen, un accord-cadre a été signé".
Le 23 août 2012, le Temps titre "Comment Berne a pipé les dés en faveur du Gripen".
Le 26 août 2012, le Temps titre "Le Gripen et Rubik, ces grands malades qu'il faut sauver".
Le 29 août 2012, le Temps titre "Doute sur la parole d'Etat".
Le 01 sept. 2012, le Temps titre "Le Gripen provoque une rafale d'amabilités à droite".
Le 02 sept. 2012, le Temps titre "Ueli Maurer et les Gripen: Attention à la Suède".
Le 04 sept. 2012, le Temps titre "Gripen: les sénateurs jouent la montre".
Le 21 sept. 2012, le Temps titre "Décision suédoise en décembre pour le Gripen".
Le 01 oct. 2012, le Temps titre "Les concurrents du Gripen font de nouvelles offres".
Le 10 oct. 2012, le Temps titre "Le Gripen fait des étincelles".
Le 10 oct. 2012, le Temps titre "Avion de combat: ce Gripen qui fâche".
Le 11 oct. 2012, le Temps titre "Premier vol du Gripen au-dessus de la Suisse".
Le 12 oct. 2012, le Temps titre "La visite du Gripen s'est achevée sur un plaidoyer".
Le 13 oct. 2012, le Temps titre "Opération de communication pour le Gripen".
Le 01 nov. 2012, le Temps titre "Bataille juridique autour du Gripen".
Le 15 nov. 2012, le Temps titre "Le Gripen masque l’absence de débat sur le rôle de l’armée".
Le 15 nov. 2012, le Temps titre "Ueli Maurer obtient le soutien du Conseil fédéral pour l’achat du Gripen".
Après analyse, ces articles dirigés contre l'avion suédois étaient vraisemblablement destinés à favoriser le Rafale français ou à conspuer l'UDC. Or, cette campagne de dénigrement contre Ueli Maurer et contre le Gripen a porté atteinte non seulement à la crédibilité du CF et de l'armée, mais encore à la Suisse et dans une certaine mesure à la Suède. Ces articles démontrent également que le canton de Genève, qui possède le plus fort taux de chômage, le plus fort taux de Français et le plus fort taux de frontaliers hésite encore entre la France centralisatrice et la Confédération helvétique. Finalement, la crédibilité et l'impartialité du journal Le Temps, piloté depuis l'étranger est détruite, car ce quotidien n'est pas représentatif du peuple suisse.
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| La solution logique, le JAS-39 Gripen E |
Source : Internet (page actualisée le 10/12/2012)
C'est sûr, les Français sont là-derrière, comme à leur habitude.
RépondreSupprimerEn 2015, Koç quitte Genève
SupprimerEn 2015, LeTemps quitte Genève pour Lausanne, suite au refus du Gripen
En 2017, l'Hebdo quitte Genève pour Fribourg, suite au refus du Gripen
En 2017, la SIP quitte Genève pour Fribourg, suite au refus du Gripen
En 2018, Alsthom quitte Genève, suite au refus du Gripen
En 2018, GE quitte Genève, suite au refus du Gripen
En 2019, ABB quitte Genève, suite au refus du Gripen
En 2019, RTS quitte Genève, suite au refus du Gripen
Les journalistes de la RTS à courte vue prennent systématiquement parti contre Nestlé, contre l'UDC et contre l'Armée. Or les journalistes de la RTS sont payés avec nos deniers et ils seraient bien avisés de cesser leur campagne anti-suisse.
SupprimerNestlé est un gros employeur du canton de Vaud et il n'est pas à blâmer dans sa réussite. Nesté procure des emplois et de la nourriture, à la grande différence de la RTS. Nestlé est née à Vevey, s'est développée sur Vaud, puis a ouvert Netlé international pour s'étendre à l'étranger. Le seul problème est que Nestlé international a pris le pouvoir sur Nestlé suisse et que la Suisse est devenue un marché comme les autres. Si la RTS voulait vraiment enquêter, elle devrait s'interroger sur la volonté de déplacer l'informatique du groupe en Espagne, pour de basse raisons économiques.
Non seulement, on peut douter que l'Espagne possède les capacités de former des ingénieurs de qualité suisse. Mais on peut se rappeler que l'Espagne et le Portugal on quitté l'AELE pour rejoindre l'UE honie et abhorrèe. De plus l'Espagne a conservé son passé nazi et catholique, comprenant le genocide des Mayas. des Aztèques, des Incas et des Pascuans. L'Espagne n'a jamais payé sa dette après la seconde guerre mondiale, concernant les exactions de Franco. Dans ce contexte, on ne peut que souhaiter l'indépendance du Pays basque. de la Catalogne et des Canaries.
Dans le sport. les journalistes de la RTS devraient arrêter de vanter les mérites de catholiques comme Alonso ou Neymar. La Suisse n'est pas la France, l'Espagne ou le Portugal. Elle est protestante et majoritairement germanique. Quand le Pape catholique vient faire du prosélitisme jusque chez nous, quand l'UE prend des mesures descriminatoire à notre encontre, quand Nestlé trahit ses engagements, les journalistes de la RTS ne bougent pas.
Non seulement, les journalistes de la RTS sont payés avec nos deniers, mais en plus l'UDC et notre armée sont les derniers remparts contre le totalitarisme européen. La seule solution pour éviter que l'armée française ne violent les femmes suisses, comme ils l'ont fait en Algérie, en Italie, en Indochine et au Mali est d'équiper l'Armée suisse avec des avions plus rapides, possédant un meilleur radar et tirant de meilleurs missiles. Il ne restent alors en lice que des avions russes ou des avions suédois, bien supérieurs et meilleurs marché.
LeMatin, un journal qui va disparaître avait titré : Le Gripen, un avion de papier ou tout reste à faire.
SupprimerCes journaux mal informés seront obligés à terme de cesser leur désinformation. Il avaient faussement prétendus que 98 améliorations restaient à faire sur le JAS-39 E, mais celui-ci vole et équipera la Suède et le Brésil.
Par contre, on voit qu'il existe une justice dans ce bas monde, LeMatin va disparaître en 2018, LeTemps est édité à Lausanne, le Nouveau Quotidien a disparu en 1998, le Journal de Genève a disparu en 1998, et l'Hebdo a disparu en 2017.
Dépenser 10 milliards pour la RTS est une aberration !
SupprimerLes Français, les Socialistes, les Catholiques et les pro-européens se demandent si le JAS-39 Gripen E est vraiment indispensable pour la sécurité du pays.
SupprimerComme le chasseur multirôle suédois correspond tout à fait aux missions qui lui sont demandées, même si la Confédération avait plus d'argent, elle achèterait encore le JAS-39 Gripen E, car ses performances exceptionnelles semblent calibrées pour la Suisse. Il est monoréacteur, il atteint Mach 2, il entre dans nos cavernes alpines, il décolle de nos autoroutes, il brûle notre bio-carburant, il tire nos missile, il utilise nos munitions et dispose d'un casque de visée.
Il n'emporte pas une fois et demie son poids en bombes atomiques et ne nécessite pas de catapultes à vapeur pour décoller depuis un porte-avion. Mais il coûte moins cher que la concurrence et cela semble poser problème.
Les Français, les Socialistes, les Catholiques et les pro-européens devraient se demander si un lourd bombardier biréacteur capable d'utiliser un porte-avion est vraiment indispensable pour la sécurité du pays.
Les Genevois se sont opposés au Gripen car il ne coûtait que 310 millions annuellement à l'armée fédérale suisse.
SupprimerLes Genevois ne se sont pas opposés à leurs fonctionnaires qui leur coûte 250'000.- par année pour une seule personne.
Ces individus ne paient même pas leurs frais de taxi privés, ni leur bouteille de Mousseux privées. On n'ose pas imaginer, ce qu'ils vont encore se payer avec notre argent.
En dix ans, leur salaire coûte 2.5 millions aux Genevois pour UN SEUL magistrat.
En dix ans, le Gripen aurait amorti son emprunt de 3.1 milliards pour toute la Suisse.
Tiens je croyais que dans leur salaire mirobolant étaient inclus tous les frais somptuaires
SupprimerLa radio RougeFM explique aux Genevois et aux Genevoises que le dimanche 18 mai 2014, ils vont pouvoir mettre une croix sur 800'000 d'affaire compensatoires s'ils refusent le crédit de 3 milliards de francs pour acheter les 22 avions de combat Gripen.
RépondreSupprimerL'année prochaine, l’armée suisse ne disposera plus que de 32 F/A-18 C/D Hornet, après avoir vendu le solde des 110 F-5 Tiger E/F datant des années septante (un vétéran de la guerre de Korée). Au vu des dangers qui menacent Genève et son aéroport, l'armée suisse veut organiser une veille aérienne 24h/24.
Pour disposer de suffisamment d'appareil, le Conseil Fédéral et les Chambres Fédérales ont décidé d’acquérir 22 JAS-39 Gripen E de la dernière génération. Pour financer ces avions, 300 millions de francs seront prélevés chaque année dans un fond spécial du budget de l'armée, pendant 11 ans.
Le GSSA a lancé un référendum, manquant de clairvoyance contre cet achat indispensable.
Si les Genevois refusent cette acquisition, ils perdront non seulement 800'000 de contrats, mais la Confédération ne disposera plus que de 32 biréacteurs Hornet, qui seront à bout de souffle dans environ 10 ans.
Notre sécurité est en jeu, pensez-y le 18 mai 2014 et votez OUI
Non aux milliards pour la traversée de la rade
RépondreSupprimerIl faut s'opposer fermement aux projets délirants des Genevois, car le bout du lac léman est déjà équipé d'une autoroute périphèrique, qui relie la France au réseau autoroutier confédéral. Plutôt que d'améliorer leur tram et de rétablir la liaison directe Cornavin-Carouge les Genevois ne pensent qu'a dépenser l'argent de la Confédération. Plutôt que d'établir un tram entre Cornavin et Cointrin, les Genevois tentent d'attirer encore plus de voitures étrangères sur leur territoire.
Opposons-nous vigoureusement à cette traversée du lac en six pistes ne profitera qu'aux frontaliers français qui pourront venir plus facilement voler le travail des citoyens suisses.
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SupprimerEn 2015, Koç quitte Genève
SupprimerEn 2015, LeTemps quitte Genève pour Lausanne, suite au refus du Gripen
En 2017, l'Hebdo quitte Genève pour Fribourg, suite au refus du Gripen
En 2017, la SIP quitte Genève pour Fribourg, suite au refus du Gripen
En 2018, Alsthom quitte Genève, suite au refus du Gripen
En 2018, GE quitte Genève, suite au refus du Gripen
En 2019, ABB quitte Genève, suite au refus du Gripen
En 2019, RTS quitte Genève, suite au refus du Gripen
LeMatin, un journal qui va disparaître avait titré : Le Gripen, un avion de papier ou tout reste à faire.
SupprimerCes journaux mal informés seront obligés à terme de cesser leur désinformation. Il avaient faussement prétendus que 98 améliorations restaient à faire sur le JAS-39 E, mais celui-ci vole et équipera la Suède et le Brésil.
Par contre, on voit qu'il existe une justice dans ce bas monde, LeMatin va disparaître en 2018, LeTemps est édité à Lausanne, le Nouveau Quotidien a disparu en 1998, le Journal de Genève a disparu en 1998, et l'Hebdo a disparu en 2017.
Quand le sage montre la montagne avec son doigt, l'idiot regarde le doigt
SupprimerIl est un peu simpliste de faire porter toute la responsabilité de l'échec du Gripen sur la presse, Je pense plutôt que cette catastrophe est multifactorielle
Grâce à Sarkosy, la France a accumulé 2'000 milliards de dette pour 65 millions d'habitants.
RépondreSupprimerDonc chaque Français doit 30'770 Euros à la naissance, c'est pourquoi ils envahissent les autres pays pour se soustraire à leurs obligations. Le problème est qu'un Français, même après avoir réussi a prendre le nationalité de son hôte, reste un Français au fond de lui-même.
Grâce aux Socialistes, Genève a accumulé 13 milliards de dette pour 0.477 millions d'habitants.
Donc chaque Genevois doit 27'250 Francs à la naissance, c'est pourquoi ils envahissent les autre cantons pour se soustraire à leurs obligations. Comparé à la France, le Genevois ne doit que 22'700 Euros à la collectivité. Malgré cela les Genevois veulent qu'on leur construisent des tunnels inutiles et des salles de musiques inutiles.
Les Genevois veulent la disparition de Meccanex à Nyon.
SupprimerMais les Genevois ne veulent pas la disparition de l'ONU.
Or l'ONU ne sert à rien, car elle ne s'attaque pas au problème de la surpopulation dans le sud.
L'ONU n'a pas réussi à empêcher la venue du pape à Genève.
Qui va payer les 4.7 milliards de francs pour sauver les retraites des fonctionnaires genevois ?
RépondreSupprimerLe bon peuple suisse évidemment !
En 2015, Koç quitte Genève
SupprimerEn 2015, LeTemps quitte Genève pour Lausanne, suite au refus du Gripen
En 2017, l'Hebdo quitte Genève pour Fribourg, suite au refus du Gripen
En 2017, la SIP quitte Genève pour Fribourg, suite au refus du Gripen
En 2018, Alsthom quitte Genève, suite au refus du Gripen
En 2018, GE quitte Genève, suite au refus du Gripen
En 2019, ABB quitte Genève, suite au refus du Gripen
En 2019, RTS quitte Genève, suite au refus du Gripen
Plutôt que de penser à réduire leur dette colossale, les Genevois préfèrent critiquer les autres Etats confédérés. Le nombre de frontaliers Français a atteint 100'000 en 2017, en même temps que le chômage prenait des proportions dramatiques...
SupprimerEn 2016, Genève détenait le record cantonal avec la dette brute la plus élevée de Suisse. Par habitant et incluant les communes, cette dette pèse 37 271 francs pour un Genevois.
SupprimerMais depuis 2014 la dette cantonale a baissé de 1 milliard de francs malgré un niveau d’investissement toujours élevé et dans le cadre d’une conjoncture morose.
Commentaire de pré adolescent boutonneux...
RépondreSupprimerAu Mexique, les catholiques du Sud exercent une pression migratoire forte contre les pays du Nord protestants et industrialisés.
SupprimerEn Afrique, les Musulmans sont contraints de se jetter à la mer comme des lemmings. Les Français sont responsables de cet état de fait : 150 ans d'occupation en Algèrie, occupation de l'Indochine, génocide au Mali, génocide en Libye ont provoqué un destructuration de la société. Alors que les Français prennent moins de réfugiés que la Suisse, qui est 4 fois plus petite, ils ferment la douane à Vintimille et parquent les musulmans dans des camps. Non seulement les Français donnent moins d'argent que la Suisse pour les organisations internationales, prennent moins de réfugiés, mais encore livrent des Rafales et des armements aux dictateurs.
En Europe, plutôt que de s'insurger contre l'Italie, les journalistes de la TSR feraient bien de s'interroger sur la légitimité de faire 8 (huit) enfants par famille. En effet, la véritable question est pourquoi laisse-t-on ces peuple arriérés faire autant d'enfants, alors qu'ils savent pertinemment qu'ils ne pourront pas les nourrir, les éduquer et les habiller ? L'ONU ne sert strictement à rien si elle refuse de prendre conscience de ce fait.
Il faut arrêter de payer des milliards à ces fonctionnaires inutiles qui n'agissent pas en amont. Pour cela je suis d'accord avec le président américain et le président italien, qui prennent les bonnes décisions.