dimanche 15 septembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): GSSA contre la Suisse

Comment le GSSA veut faire disparaître la Suisse...

Le GSSA est un groupement à la solde des patrons qui n'aspire qu'a une seule chose, la disparition pur et simple de la Suisse en supprimant ses capacités de défense. Le GSSA veut laisser les étrangers venir voler les places de travail en Suisse. Par là, ce groupement adhère aux théories économiques les plus libérales en empêchant l’État de jouer son rôle protecteur.

Le GSSA, composé essenciellement de non Suisses suit une stratégie de déconstruction de la Confédération étape par étape.

Sous le couvert de suppression de l'armée, le GSSA s'était déjà opposé à l'achat des chars Leopard II, qui constituent cependant une menace crédible contre les Leclerc français.

Sous le couvert de suppression de l'armée, le GSSA s'était déjà opposé à l'achat des chasseurs FA-18, qui constituent cependant une menace crédible contre les Rafale français.

Le GSSA s'oppose aujourd'hui au Service Militaire et veut par là détruire le ciment confédéral. Les Confédérés n'auront plus rien à partager, ni la langue, ni la religion. Déjà que des symboles tels la Migros, les PTT ou les CFF sont mis à mal, il ne reste plus que l'armée pour s'identifier à notre pays. Par exemple, la Migros se retrouve également hors de nos frontières et des produits étrangers y sont vendu. Les PTT n'assurent plus un service, mais sont devenus une banque avide de profit et oppriment les citoyens de taxes téléphoniques exhorbitantes. Les CFF se délitent ne respectent plus l'horaire et n'assurent plus leur service de base, qui était de déplacer les gens. Tous ces services qui avaient fait la renommée de notre pays sont en voie de disparition et les gauchistes du GSSA visent maintenant l'armée confédérale.

Sous le couvert de suppression du Service Militaire, le GSSA vise l'Armée même. Or comme la Suisse est une armée de milice permanente, le GSSA vise en fait la suppression de la Confédération. De plus en plus de beaux terrains sont vendus à de riches étrangers, qui refusent d'apprendre nos langues nationales, ni nos us et coutumes. Le refus du Gripen n'est qu'une étape de plus dans la destruction de la Suisse.

Par contre le GSSA ne s'oppose ni au CEVA, ni à la traversée de la Rade ou ni à la Transchablaisienne, alors que ces aménagements constituent un véritable danger pour les travailleurs suisses. En effet des hordes de frontaliers monolingues vont pouvoir déferler en toute impunité sur le marché du travail genevois. Ces étrangers se contentent d'un salaire moindre que les Suisses, car ils ne paient pas d'assurance maladie, ils ne paient pas d'impôts d'armée, ils ne paient pas de loyer exhorbitant, ils ne paient pas leur nourriture au prix du marché. De plus ces travailleurs au rabais ne parlent pas allemand, ni italien, alors qu'on le requiert pour les Suisses.


Source : Internet (page actualisée le 15/09/13)

1 commentaire:

  1. En 1989, 64.4 % du peuple rejetait l'initiative pour une Suisse Sans Armée (SSA), qui avait été instrumentalisée depuis l'étranger par des anti-suisses.
    En 1993, 57.2 % du peuple rejetait l'initiative pour une Suisse Sans Avion de Combat (SSAC), qui avait été instrumentalisée depuis l'étranger par des anti-suisses.
    En 1993, 55.2 % du peuple rejetait l'initiative pour 40 Places d'Armes ça Suffit (40PACS), qui avait été instrumentalisée depuis l'étranger par des anti-suisses.
    En 1994, 77.5 % du peuple rejetait l'initiative contre l'Exportation de Matériel Militaire (CEMM), qui avait été instrumentalisée depuis l'étranger par des anti-suisses.
    En 2001, 78.1 % du peuple rejetait l'initiative pour une Suisse Sans Armée (SSA), qui avait été instrumentalisée depuis l'étranger par des anti-suisses.

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